Après deux semaines novembresques en Dordogne, nous voici rendus à Paris. Ou Paris rendu à nous. Sous un soleil ironiquement splendide.
Il faut croire, cependant, que je n'avais pas envie de rentrer car j'ai laissé mon carnet de croquis là bas. Ou dans la voiture de location... Mystère.
J'en suis fort marie car je comptais m'en servir pour alimenter le blog pendant le mois d'Aout. Et surtout je voulais garder cette succession d'instants griffonés, raisonnée ou non.
Grrr... J'enrage contre moi même, je peste, je suis vénère. On le dira comme on veut, mais le résultat est là.
Je vais passer quelques coups de fil au loueur de voiture et à la propriétaire de la maison pour tenter de mettre la main dessus mais j'ai bien peur qu'il soit tombé du sac en plein milieu des chargements et déchargements, c'est à dire n'importe où, sauf là où on pourra le voir. Sinon, ce serait déjà fait.
Rien pour illustrer mon dépit.
A bientôt quand même, parce que, bien sûr, je vais encore m'escrimer sur mes feutres d'ici peu.
Justine
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